EKOI

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Ekoï vise l’excellence

Depuis presque 20 ans, Ekoï s’est imposée comme une marque de référence.
Jean-Christophe Rattel, le fondateur, a misé sur un site de vente en ligne en perpétuel
mouvement, de l’innovation permanente, et un sponsoring actif, avec des équipes
et des champions qui participent à l’élaboration de nouveaux produits grâce à leurs exigences.

Lorsque Jean-Christophe Rattel lance la marque Ekoï en 2001, il a déjà réalisé une première partie de carrière dans le milieu du cyclisme, et a de solides attaches dans le milieu professionnel. S’il désire créer une enseigne avec des produits accessibles « pour que plus de cyclistes puissent accéder à cette pratique parfois trop onéreuse », précise-t-il, il sait que la reconnaissance de la marque se fera grâce à l’image véhiculée par les coureurs cyclistes professionnels. En quelques an

nées, il réussit à séduire des équipes comme AG2R-La Mondiale, Deceuninck-Quick Step, Cofidis, Lotto et Arkea Samsic, ou des individualités comme Romain Bardet, Julian Alaphilippe, Philippe Gilbert, Fabio Aru, Warren Barguil, Nacer Bouhanni, Elia Viviani ou le champion de triathlon Patrick Lange. Des partenariats prestigieux qui présentent deux avantages : celui de transmettre une image positive de la marque,  et celui de faire évoluer les produits grâce à l’implication des pros sous contrat. Un atout d’autant plus facile à mettre en avant qu’Ekoï, en plus de la réactivité de son bureau de recherches et développements, bénéficie d’une fabrication européenne de l’ensemble de sa gamme, avec des sous-traitants particulièrement réactifs.
Des pros impliqués Car Ekoï, ce n’est pas loin de 15 collections lancées chaque année. Des vêtements,
des casques, des chaussures, des lunettes, avec des produits accessibles, des modèles sobres en milieu de gamme et un haut de gamme de plus en plus tiré par les relations de la marque avec l’environnement professionnel. Il a fallu bien sûr quelques années à Jean-Christophe Rattel pour trouver la bonne formule et pour s’imposer parmi les accessoiristes qui comptent. De 2001 à 2007, Ekoï fournit en priorité les grandes surfaces spécialisées dans le sport et les grossistes, et vise le cœur de gamme. La
marque se fait d’abord connaître par le rapport qualité-prix de ses produits. En 2008, le site de vente en ligne est créé. L’idée est là encore de faire de la qualité, mais avec une notion de nombreuses collections dont beaucoup en séries limitées. En supprimant les intermédiaires, la marque propose des
produits au rapport qualité-prix incomparable, parfois entre 30 % à 40 % moins chers que la concurrence.

De 50.000€ de chiffre d’affaires la première année, le site génère déjà 1,5 million deux ans plus tard.
« J’ai su alors que nous étions sur la bonne voie. Nous avons pu dès lors commencer à investir dans le sponsoring et nouer des contacts avec les coureurs professionnels. Mais ce sont d’abord des relations
gagnantes des deux côtés que nous cherchions, portées par le côté humain. Philippe Gilbert par exemple, est un coureur avec qui nous travaillons depuis longtemps, qui est très professionnel, et qui nous a aidés dans le développement de certains produits.Depuis ce printemps par exemple, il teste
pour nous une paire de lunettes électronique qui change de teinte en moins d’une seconde selon les conditions de luminosité. Elle sera disponible pour le grand publicdès cet été. »
Forte actuellement de 36 salariés et de quelques consultants extérieurs, l’équipe Ekoï foisonne d’idées et ne se repose jamais sur ses lauriers. Un exemple récent en est l’illustration parfaite, avec une paire de lunettes fournie à Nairo Quintana, le nouveau co-leader de l’équipe Arkea-Samsic : lors d’une étape de Paris-Nice, le Colombien a été victime d’une légère irritation aux yeux à cause d’un filet d’air mal placé, et Ekoï a tout de suite réagi auprès de son sous-traitant pour modifier un détail sur les lunettes.
« Le partenariat avec Arkea-Samsic nous fait encore progresser, poursuit le boss de l’entreprise installée à Fréjus dans le Var.  
Nairo Quintana est un coureur adorable, mais pointu et très exigeant. Il nous a dit dès le départ ce qu’il voulait, avec par exemple des vêtements hyper cintrés, mais pas trop compressifs et avec des tissus
doux. Et surtout il ne supporte aucune couture, que ce soit sur les maillots ou sur les cuissards. Avec son aide, nous avons créé je pense l’un des meilleurs cuissards du marché. Il n’y a par exemple ni élastique, ni bande de silicone au niveau des cuisses, mais pourtant notre construction et le tissu que nous utilisons permet au cuissard de ne pas remonter. Il souhaitait également trois types de sous-vêtements différents. Nous avons le même type d’échange avec Warren Barguil, et c’est l’ensemble de l’équipe qui en profite. »
Depuis cette saison, Ekoï fournit également les casques de l’équipe Cofidis, avec pour leader Elia Viviani qui était déjà sous contrat avec la marque quand il courait chez Deceuninck. Le champion d’Europe a travaillé avec Ekoï pour les spécificités du modèle qu’il porte en course. « Un coureur
affable et extrêmement disponible. Globalement, nous avons le plaisir de travailler avec des coureurs et des équipes que nous avons choisis, et avec qui le courant passe bien. Nous ne nous verrions pas travailler avec certaines équipes anglo-saxonnes par exemple.

En supprimant les intermédiaires, la marque propose des produits au rapport qualité-prix incomparable, parfois entre 30 à 40 %
moins chers que la concurrence

JC

Une entreprise qui s'exporte

Cette recherche de l’excellence bénéficie également aux consommateurs, puisque les produits testés au plus haut niveau professionnel sont ensuite déclinés pour le grand public. Avec en plus de nombreuses possibilités de personnalisation, là encore permises par les circuits courts employés et la qualité des sous-traitants. La visibilité apportée par les pros permet à la marque de bien s’exporter, notamment dans les pays traditionnels du vélo, la Belgique, l’Espagne, l’Italie et l’Allemagne. Une présence européenne qui a permis à Ekoï de ne pas trop souffrir de la pandémie, puisque par exemple les cyclistes ont pu continuer à rouler en extérieur en Belgique et en Allemagne, et donc à s’équiper. Pour autant, celui qui a choisi le nom Ekoï parce qu’il se prononce facilement dans plusieurs langues a-t-il l’intention de profiter de l’essor général du vélo utilitaire pour se diversifier ?
« Ce n’est pas dans notre stratégie. Nous voulons accentuer notre présence dans le haut de gamme et démontrer qu’une entreprise française peut jouer dans la cour des grands grâce à nos capacités d’innovations, tout en restant compétitifs au niveau des tarifs. »

Le site officiel